Sortie V.O : Décembre 2012
Nombre de page : 248
Titre V.F : Le journal malgré lui de Henri K. Larsen
Sortie V.F : Août 2013
RESUME : Quelque chose me dit que Cecil n'est pas la crème de la crème des psychologues. Déjà, il est gratuit. (...) Son bureau est minuscule et encombré, avec des meubles bas de gamme, abîmés et tâchés. Et puis, on dirait qu'il n'a pas pu se payer de vêtements neufs depuis 1969. Nous n'avons pas encore parlé de ÇA. Il essaie de m'y amener l'air de rien. Il me pose parfois des questions orientées.
Mais quand il le fait, je prends ma voix de robot pour lui répondre. «Je-ne-sais-pas. De-quoi-vous-parlez. Espèce-d'humanoïde.» Alors, il bat en retraite.
Après le terrible drame qui a frappé Henry et sa famille, et les conséquences qui en ont découlé, l'adolescent a déménagé à Vancouver avec son père. Les voici en tête à tête, dans cette ville où ils ne connaissent personne. Tout est à reconstruire : même la mère de Henry, victime d'une grave dépression, est restée à Port Salish...
Bien qu'il déteste franchement l'idée d'écrire dans un journal, comme le lui a conseillé son thérapeute, tout comme il se refuse à se faire de nouveaux amis, le garçon finit par s'ouvrir, malgré lui... Au fil des jours, il trouve même du plaisir à coucher ses pensées sur le papier et à reconstituer, entre gravité et humour, entre souvenirs terribles et lueurs d'espoir, les événements qui ont marqué sa vie pour toujours.
Après le terrible drame qui a frappé Henry et sa famille, et les conséquences qui en ont découlé, l'adolescent a déménagé à Vancouver avec son père. Les voici en tête à tête, dans cette ville où ils ne connaissent personne. Tout est à reconstruire : même la mère de Henry, victime d'une grave dépression, est restée à Port Salish...
Bien qu'il déteste franchement l'idée d'écrire dans un journal, comme le lui a conseillé son thérapeute, tout comme il se refuse à se faire de nouveaux amis, le garçon finit par s'ouvrir, malgré lui... Au fil des jours, il trouve même du plaisir à coucher ses pensées sur le papier et à reconstituer, entre gravité et humour, entre souvenirs terribles et lueurs d'espoir, les événements qui ont marqué sa vie pour toujours.
L'AVIS D'ELEANE : Attention, livre très très addictif en vue !!
J’ai eu le grand plaisir de découvrir cette autrice alors que je consultais la liste des dédicaces du Salon du Livre et de la Presse Jeunesse de Montreuil. En regardant ce qu’elle avait pu écrire j’ai déjà accroché au titre "Les optimistes meurent en premier" qui m’a semblé très drôle.
Et dans la liste de ses romans, c’est "The Reluctant Journal of Henry K. Larsen" qui m’a semblé le plus chouette pour découvrir cette autrice dont le style ne manquait pas de me faire penser à Will et Will de John Green et David Levithan (un gros coup de cœur à l’époque.)
Et j’ai été bien inspirée !!! J’ai ri dès la première page et j’étais accrochée. Je n’avais jamais dévoré une V.O. comme ça. Il faut dire que le côté journal rend la lecture très fluide. Et néanmoins malgré le style choisi que certains pourraient juger facile, l’autrice parvient à nous accrocher, à délivrer quelques informations sur ce qui a bouleversé la vie d’Henry (pitié ne lisez pas le résumé anglais il vous spoile sévère), les éléments sont amenés comme un puzzle et nous permet de nous immerger dans le quotidien de notre personnage principal.
Les personnages qui gravitent autour d’Henry sont drôles, attachants et on se retrouve à passer par toutes les émotions.
Le sujet est grave et pourtant je qualifierai malgré tout de livre Feel good. On ressort de cette lecture avec un sentiment de douceur et d’optimisme. Non vraiment, c’est un livre qui restera longtemps dans ma mémoire et il est certain que je lirai très vite ses autres romans. Et si vous ne lisez pas la V.O. foncez sur la version française, je ne sais pas si cette humour rafraîchissant est bien retranscrit mais tentez votre chance J
Note : Coup de cœur
Note niveau d’anglais : 2/5
J’ai eu le grand plaisir de découvrir cette autrice alors que je consultais la liste des dédicaces du Salon du Livre et de la Presse Jeunesse de Montreuil. En regardant ce qu’elle avait pu écrire j’ai déjà accroché au titre "Les optimistes meurent en premier" qui m’a semblé très drôle.
Et dans la liste de ses romans, c’est "The Reluctant Journal of Henry K. Larsen" qui m’a semblé le plus chouette pour découvrir cette autrice dont le style ne manquait pas de me faire penser à Will et Will de John Green et David Levithan (un gros coup de cœur à l’époque.)
Et j’ai été bien inspirée !!! J’ai ri dès la première page et j’étais accrochée. Je n’avais jamais dévoré une V.O. comme ça. Il faut dire que le côté journal rend la lecture très fluide. Et néanmoins malgré le style choisi que certains pourraient juger facile, l’autrice parvient à nous accrocher, à délivrer quelques informations sur ce qui a bouleversé la vie d’Henry (pitié ne lisez pas le résumé anglais il vous spoile sévère), les éléments sont amenés comme un puzzle et nous permet de nous immerger dans le quotidien de notre personnage principal.
Les personnages qui gravitent autour d’Henry sont drôles, attachants et on se retrouve à passer par toutes les émotions.
Le sujet est grave et pourtant je qualifierai malgré tout de livre Feel good. On ressort de cette lecture avec un sentiment de douceur et d’optimisme. Non vraiment, c’est un livre qui restera longtemps dans ma mémoire et il est certain que je lirai très vite ses autres romans. Et si vous ne lisez pas la V.O. foncez sur la version française, je ne sais pas si cette humour rafraîchissant est bien retranscrit mais tentez votre chance J
Note : Coup de cœur
Note niveau d’anglais : 2/5
Sur amazon : The Reluctant journal of Henry K. Larsen ou VF Le Journal malgré lui de Henry K. Larsen
Oooh, du coup, tu me donnes envie de tenter, merci beaucoup pour la découverte !
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas du tout, merci pour la découverte !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce petit rendez vous =)
RépondreSupprimerMerci pour ton avis