Titre original : Ready Player One
Traducteur : Arnauld Regnauld
Nombre de page : 405
Editeur : Michel Lafon
Date de sortie : 15 Mars 2018 (pour la dernière édition)
PRESENTATION DE L'EDITEUR : L'avenir d'un monde en jeu, une quête pour la récompense suprême. Êtes-vous prêts ?
2045. La réalité est devenue insoutenable. Les rares moments pendant lesquels Wade Watts se sent vraiment exister sont ceux où il est connecté à l'OASIS, un vaste monde virtuel dans lequel la majeure partie de l'humanité passe son temps.
Quand l'excentrique créateur de l'OASIS meurt, il laisse derrière lui une suite d'énigmes complexes inspirées par son obsession pour la pop culture des décennies passées. Le premier à les résoudre deviendra l'héritier de son immense fortune et, surtout, contrôlera l'OASIS.
Et Wade résout la première énigme. Il est soudain assiégé de rivaux qui tueraient pour accéder au trésor. La course est lancée. Une seule façon d'y survivre : la gagner.
L'AVIS DE GUILLAUME : Né de l’imagination débordante d’un Geek dans l’âme prénommé Ernest Cline, Ready Player One est son premier roman.
Nous somme en 2044. Une immense crise énergétique pèse sur le monde et le seul salut afin d’échapper à la morosité et à la dépression s’appelle L’OASIS. Une sorte d’eldorado virtuel permettant à tout le monde sans exception, via sa gratuité, de s’évader dans un environnement idyllique dominé par la culture des années 1980.
Ce rêve a été pensé par le populaire James Halliday (rien à voir avec Johnny…). Seulement, cet éminent personnage vient de disparaître, laissant derrière lui un héritage d’exception destiné à celui qui parviendra à découvrir son œuf de pâque dissimulé quelque part au sein de l’OASIS en prenant part à la plus grande chasse au trésor virtuel de l’histoire.
Voilà pour la mise en bouche très prometteuse.
L’action suit l’évolution de Wade Watts, alias Parzival (son avatar dans l’OASIS), un adolescent de dix-huit ans vivant avec sa tante depuis la mort de ses parents. Cette dernière, étant loin d’être une tante modèle, ne voit en lui qu’un moyen de récupérer ses tickets de rationnement et rien d’autre. L’environnement dans lequel vit Wade est très archaïque puisqu’il loge dans une pile (un amoncellement de mobile home associé à un échafaudage).
Wade est ce qu’on appelle un chassoeuf. Engagé dans cette folle chasse au trésor il a écumé tout ce rapprochant de près ou de loin au légendaire James Halliday. Mais avec de faibles moyens pécuniaires, il lui est très difficile de faire évoluer son avatar et de gagner ainsi en crédibilité.
Les seuls indices laissés par Halliday tiennent en une vidéo « l’invitation d’Anorak » ainsi qu’un journal « le journal d’Anorak ». Anorak étant son avatar dans l’OASIS. Ces documents regorgent de références 80’s et sont censés aiguiller les chassoeufs vers le graal.
Qui parle de chasse aux trésors, avec un gain d’exception à la clé, parle aussi de concurrence ardue voire même déloyale. Etant un programme « open source » (gratuit pour tous dans le jargon informatique) les rapaces de la finance seront prêt à tout pour mettre la main sur cet œuf et ainsi avoir l’occasion de privatiser l’OASIS.
Wade n’a qu’un seul ami sur qui il peut se reposer dans les moments difficiles en la personne d’Aech. Et encore il ne le connait qu’en tant qu’avatar. Il apprécie passer son temps libre avec lui en jouant à de vieux jeux vidéo revenus à la mode depuis le lancement de cette course aux trésors. Il y a aussi Art3mis, une bloggeuse, qui le fait rêver mais qu’il n’a encore jamais rencontré même sous la forme de son avatar.
La problématique raciale et de l’intégration font aussi parti des thèmes forts du récit puisque cet univers virtuel donne la liberté d’être des personnes différentes tant physiquement que caractériellement.
Ready Player one est une histoire qui ravira les 30 – 40 ans, tant les références multiples à la culture des années 80 (jeux vidéo, Cinéma ou musique) voire même un peu avant sont omniprésentes et donnent une originalité particulière au récit. Dans un passage du livre, les personnages se retrouvent immergés au cœur d’un film populaire de l’époque et sont contraints de jouer les répliques du protagoniste afin de faire progresser leur quête.
Pour conclure, étant pile poil dans la tranche d’âge ciblé par le récit, j’ai tout de suite accroché à l’ambiance et au thème proposé. Même si une baisse de rythme se fait sentir l’espace d’un instant, sans doute dû à la redondance des quêtes, cela se rattrape par la suite jusqu’au final.
Je précise que je n’ai pas visionné le film sorti en salle dernièrement et que cette chronique n’en est aucunement influencé.
Avis rédigé par Guillaume
Sur Amazon : Ready Player One
Nous somme en 2044. Une immense crise énergétique pèse sur le monde et le seul salut afin d’échapper à la morosité et à la dépression s’appelle L’OASIS. Une sorte d’eldorado virtuel permettant à tout le monde sans exception, via sa gratuité, de s’évader dans un environnement idyllique dominé par la culture des années 1980.
Ce rêve a été pensé par le populaire James Halliday (rien à voir avec Johnny…). Seulement, cet éminent personnage vient de disparaître, laissant derrière lui un héritage d’exception destiné à celui qui parviendra à découvrir son œuf de pâque dissimulé quelque part au sein de l’OASIS en prenant part à la plus grande chasse au trésor virtuel de l’histoire.
Voilà pour la mise en bouche très prometteuse.
L’action suit l’évolution de Wade Watts, alias Parzival (son avatar dans l’OASIS), un adolescent de dix-huit ans vivant avec sa tante depuis la mort de ses parents. Cette dernière, étant loin d’être une tante modèle, ne voit en lui qu’un moyen de récupérer ses tickets de rationnement et rien d’autre. L’environnement dans lequel vit Wade est très archaïque puisqu’il loge dans une pile (un amoncellement de mobile home associé à un échafaudage).
Wade est ce qu’on appelle un chassoeuf. Engagé dans cette folle chasse au trésor il a écumé tout ce rapprochant de près ou de loin au légendaire James Halliday. Mais avec de faibles moyens pécuniaires, il lui est très difficile de faire évoluer son avatar et de gagner ainsi en crédibilité.
Les seuls indices laissés par Halliday tiennent en une vidéo « l’invitation d’Anorak » ainsi qu’un journal « le journal d’Anorak ». Anorak étant son avatar dans l’OASIS. Ces documents regorgent de références 80’s et sont censés aiguiller les chassoeufs vers le graal.
Qui parle de chasse aux trésors, avec un gain d’exception à la clé, parle aussi de concurrence ardue voire même déloyale. Etant un programme « open source » (gratuit pour tous dans le jargon informatique) les rapaces de la finance seront prêt à tout pour mettre la main sur cet œuf et ainsi avoir l’occasion de privatiser l’OASIS.
Wade n’a qu’un seul ami sur qui il peut se reposer dans les moments difficiles en la personne d’Aech. Et encore il ne le connait qu’en tant qu’avatar. Il apprécie passer son temps libre avec lui en jouant à de vieux jeux vidéo revenus à la mode depuis le lancement de cette course aux trésors. Il y a aussi Art3mis, une bloggeuse, qui le fait rêver mais qu’il n’a encore jamais rencontré même sous la forme de son avatar.
La problématique raciale et de l’intégration font aussi parti des thèmes forts du récit puisque cet univers virtuel donne la liberté d’être des personnes différentes tant physiquement que caractériellement.
Ready Player one est une histoire qui ravira les 30 – 40 ans, tant les références multiples à la culture des années 80 (jeux vidéo, Cinéma ou musique) voire même un peu avant sont omniprésentes et donnent une originalité particulière au récit. Dans un passage du livre, les personnages se retrouvent immergés au cœur d’un film populaire de l’époque et sont contraints de jouer les répliques du protagoniste afin de faire progresser leur quête.
Pour conclure, étant pile poil dans la tranche d’âge ciblé par le récit, j’ai tout de suite accroché à l’ambiance et au thème proposé. Même si une baisse de rythme se fait sentir l’espace d’un instant, sans doute dû à la redondance des quêtes, cela se rattrape par la suite jusqu’au final.
Je précise que je n’ai pas visionné le film sorti en salle dernièrement et que cette chronique n’en est aucunement influencé.
Avis rédigé par Guillaume
Sur Amazon : Ready Player One
Je ne suis pas trop fan du genre, mais je te remercie pour ton avis.
RépondreSupprimermoi non plus ce n'est pas trop mon style
SupprimerContrairement à toi, je n'ai pas lu le livre, mais j'ai vu le film, que j'ai littéralement adoré d'ailleurs !
RépondreSupprimersuper
SupprimerJe ne suis pas fan du genre, désolée mais ravie que Guillaume ait passé un bon moment avec ce dernier tome. Est-ce qu'il a l'intention d'aller regarder le film ?
RépondreSupprimerje pense qu'il l’achètera peut-être en DVD
SupprimerSympa cet avis, je t'avoue que beaucoup ne sont pas d'accord avec toi, j'avais repoussé ma lecture mais ton avis me donne envie de me plonger dans l'univers ^^
RépondreSupprimerAh oui le film, je n'ai pas testé c'est moins mon genre que d'autres alors je ne sais pas trop pour le livre
RépondreSupprimerUne histoire qui m'intrigue et qu'on voit partout à cause du film.
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